Cotisations d'assurance nationale (NIC)
Cotisations d'assurance nationale (NIC) : un aperçu
Les cotisations d'assurance nationale (NIC) sont des impôts payés par les employés et les employeurs britanniques pour financer les programmes d'avantages sociaux du gouvernement, y compris les pensions d'État. Les cotisations sont versées par retenues salariales.
La déduction NIC fonctionne un peu comme le système de retenue FICA aux États-Unis (FICA signifie Federal Insurance Contributions Act. Les fonds retenus paient les prestations de sécurité sociale et d'assurance-maladie.)
Comprendre la carte réseau
Le système d'assurance nationale (NI) a été créé en 1911 pour fournir une assistance aux travailleurs malades et au chômage. Une série d'expansions au XXe siècle a étendu sa portée pour ajouter du financement au Service national de santé, au régime public de retraite des retraités et aux allocations de chômage.
Les travailleurs britanniques paient leur part des cotisations NI pour constituer un droit au fil du temps pour le paiement ultérieur d'une pension et d'autres prestations gouvernementales telles qu'une allocation de maternité.
En 2020, le taux était de 12 % des gains hebdomadaires du travailleur entre l'équivalent d'environ 220 $ par semaine et environ 1 200 $, tombant à 2 % au-dessus de ce maximum.
La prestation de retraite régulière maximale était d'environ 215 $ par semaine en 2020.
Les employés peuvent verser des cotisations supplémentaires volontaires au NI afin de se qualifier ultérieurement pour un montant de pension plus élevé. Les travailleurs indépendants et les citoyens britanniques travaillant à l'extérieur du pays peuvent également verser des cotisations volontaires pour se préparer à l'admissibilité à la retraite.
Un employé qui travaille ou s'attend à travailler moins de 35 ans ne sera pas admissible à la prestation de retraite maximale sans effectuer des versements volontaires supplémentaires. La prestation de retraite maximale en 2020 était d'environ 215 $ par semaine. Le versement peut être plus élevé pour les salariés qui versent des cotisations volontaires ou reportent la prise de la prestation jusqu'à un âge plus avancé.
Une brève histoire de la carte réseau
Le système actuel d'assurance nationale au Royaume-Uni a commencé avec la loi de 1911 sur l'assurance nationale et se limitait à une allocation de chômage financée par le gouvernement.
À cette époque, l'assurance maladie et les prestations de retraite étaient administrées par des syndicats privés et des « sociétés agréées », ou associations professionnelles. Une pension de vieillesse était versée aux personnes de plus de 70 ans, à une époque où seul un Britannique sur quatre vivait aussi longtemps.
La Seconde Guerre mondiale touchait à sa fin lorsque le gouvernement a commencé à envisager une expansion du filet de sécurité sociale en Grande-Bretagne. En mars 1943, le Premier ministre Winston Churchill, dans une émission de radio, a promis un système «d'assurance nationale obligatoire pour toutes les classes à toutes fins, du berceau à la tombe».
Le système n'a été pleinement en place qu'en 1948. Depuis lors, il a été périodiquement révisé, élargi et réduit en fonction du climat politique dominant.
Aujourd'hui, les employés britanniques paient le taux d'assurance nationale à partir de 16 ans jusqu'à l'âge officiel de la retraite, qui est de 65 ans pour la plupart mais qui est progressivement augmenté jusqu'à 67 ans.
Points forts
L'assurance nationale est un terme générique pour les soins de santé universels, le programme public de retraite et les allocations de chômage.
Les cotisations d'assurance nationale sont des impôts payés par les employés et les employeurs au Royaume-Uni
Les employés peuvent effectuer des paiements volontaires supplémentaires pour augmenter le montant de la pension auquel ils ont éventuellement droit.